Dans le cadre d’un développement important qui pourrait stimuler davantage l’innovation Développement de l’intelligence artificielle, Union européenne Il a décidé de fournir aux startups d’IA responsables un accès à des supercalculateurs de calcul haute performance (HPC). Modèles de formation en intelligence artificielle.
Cette initiative, présentée par la présidente de l’UE Ursula von der Leyen lors de son discours annuel sur l’état de l’Union, fait partie du Une stratégie plus large pour façonner l’avenir de l’intelligence artificielle Jugement.
Les supercalculateurs HPC de l’UE sont connus pour leur puissance de calcul, notamment pour les systèmes pétaflopiques et pré-exascales.
Cependant, cet accès aux ressources est assorti d’une clause : les startups d’IA doivent s’aligner sur les normes et principes de gouvernance de l’IA de l’UE.
Au cours des derniers mois, l’Union européenne a fait preuve d’une position proactive en élaborant un cadre global pour régir l’utilisation de l’intelligence artificielle. En mai dernier, il a introduit un ensemble de règles et normes volontaires pour l’industrie de l’IA.
Par ailleurs, l’Union européenne est également en train de Finaliser la loi sur l’intelligence artificielleIl s’agit d’un cadre réglementaire basé sur les risques pour les applications d’intelligence artificielle.
L’approche globale de l’Union européenne reflète sa détermination à relever les défis Causé par la vague de l’intelligence artificielle.
La présidente von der Leyen s’inquiète des risques de l’intelligence artificielle
Le président Lin s’est dit préoccupé par le fait que l’industrie technologique soit confrontée à l’apparition de l’intelligence artificielle. Lors de son discours, elle s’est concentrée sur les risques existentiels potentiels de l’intelligence artificielle. Elle a également averti que l’intelligence artificielle était Il se développe plus vite que prévu. Dans ce contexte, elle a appelé à la nécessité de réguler la technologie.
Atténuer le risque d’extinction provoqué par l’intelligence artificielle devrait être une priorité mondiale, aux côtés d’autres risques sociétaux tels que les pandémies et la guerre nucléaire.Ursula von der Leyen
Lors de son discours, elle a également proposé la création d’un organisme mondial similaire au Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC). Cet organisme évaluera les bénéfices de l’IA à l’échelle mondiale tout en abordant ses risques.
L’organisation rassemblera des entreprises technologiques, des scientifiques et des experts indépendants pour tenir les décideurs politiques informés des détails les plus récents sur les risques associés à l’intelligence artificielle. Une telle initiative renforcerait la coopération et la coordination internationales dans le contrôle de l’utilisation de l’intelligence artificielle.
Alors que les dirigeants européens reconnaissent les risques existentiels de l’IA, les startups de sécurité comme la start-up Conjecture ont réagi positivement à la situation. Ils ont félicité l’Union européenne pour avoir reconnu les risques potentiels et ont appelé à une coopération mondiale pour gérer efficacement ces risques.
Les startups d’IA responsables bénéficieront d’une vitesse de traitement plus rapide
Actuellement, l’Union européenne fonctionne Huit supercalculateurs Ils sont situés dans les États membres, notamment en Italie, en Espagne et en Finlande. En outre, deux supercalculateurs exascale supplémentaires devraient rejoindre la force.
L’UE a réorienté son attention vers davantage d’orientation Innover grâce à l’intelligence artificielle. L’EU AI Startup Initiative a été lancée pour identifier les startups d’IA prometteuses en Europe et leur fournir un accès à une puissance de calcul haute performance.
Cette initiative s’inscrit également dans le cadre des efforts plus larges de l’Union européenne visant à encourager l’innovation et le développement de l’intelligence artificielle, en tenant compte des valeurs européennes.
L’UE prévoit d’impliquer de multiples parties prenantes, notamment des décideurs politiques, des experts universitaires, des entreprises, des ONG, des consommateurs et des startups, pour aborder la gouvernance de l’IA de manière globale.
Association de l’Alliance européenne pour l’intelligence artificielle, Prévu en novembre, rassemblera ces diverses voix. Cela devrait grandement contribuer à façonner la gouvernance de l’IA dans l’UE. L’approche globale contraste fortement avec les positions étroites adoptées par certaines autres régions.