L’ingénierie logicielle couvre tous les domaines d’activité de Dunelm. Au cours des dernières années, le détaillant a modernisé son infrastructure informatique, passant de la gestion du commerce électronique via IBM WebSphere on Rackspace à la construction de tout en interne.
« Comme pour de nombreuses entreprises, la transformation numérique commence par le site Web et s’approfondit de plus en plus à partir de là », explique Paul Cresson, directeur de l’ingénierie et de l’architecture chez Dunelm. “Et c’est le stade où nous en sommes actuellement : nous avons notre offre numérique sur cette plateforme leader.”
À propos du passage à une architecture plus moderne, Kerrison déclare : « Alors que nous avons abandonné l’achat de gros packages de commerce électronique prêts à l’emploi, nous avons décidé de créer nos propres capacités d’ingénierie et notre propre site Web, et nous voulions le faire à l’avenir. .» “Je réfléchis à un moyen possible.”
Cette approche progressive signifie que l’entreprise a décidé de ne pas déployer de charges de travail sur Kubernetes, explique Jan Claessens, ingénieur principal adjoint chez Dunelm. Au lieu de cela, il a déployé des systèmes sans serveur et Renforcer les capacités DevSecOps.
À l’époque, alors qu’il construisait une plate-forme de commerce électronique, Kerrison a déclaré que Dunelm avait décidé de créer une interface personnalisée pour son système de gestion de contenu et de fournir un ensemble de microservices. Selon Kerrison, à l’époque, le résultat de cet effort était que Dunelm disposait de la plus grande implémentation Lambda sans serveur en Europe.
Avec l’aide de Luca Mezzalera, principal spécialiste du sans serveur chez AWS, Kerrison affirme que l’équipe de Dunelm a décomposé le site Web en Petites extrémités avantParce qu’il est devenu très gros et gonflé. Il s’agit d’un concept complètement nouveau, dit-il : « Il n’y a pas qu’une seule façon de procéder. Nous avons reçu beaucoup d’aide d’AWS et d’un gars là-bas nommé Luca qui littéralement Le livre est écrit sur les petits frontaux“.
Il dit que la prochaine étape de la présence en ligne de l’entreprise est Être construit à partir de pièces plus petites Qui peut être déployé et mis à l’échelle indépendamment et qui appartient à une équipe spécifique. Pour Kerrison, cette structure contribuera à la prochaine phase de croissance de Dunelm.
En regardant comment l’entreprise fait évoluer son architecture informatique globale, il déclare : « Nous en sommes au point où nous allons plus loin et plus loin. Nous voulons nous éloigner davantage de nos systèmes sur site et aller à 100 % vers le nuage.”
Mais Cresson reconnaît que l’entreprise devra évaluer ce qu’il décrit comme des « capacités marchandisées », qui n’ont pas besoin d’être construites en interne. Au lieu de cela, dit-il : « Nous achèterons des applications SaaS prêtes à l’emploi et concentrerons nos capacités de développement sur ce qui fait une réelle différence pour les clients ou les collègues. »
Claeyssens indique que Dunelm a initialement utilisé le serveur d’automatisation open source Jenkins pour exécuter son pipeline de développement logiciel. Lorsqu’il s’agit de choisir une nouvelle plateforme, dit-il Choisissez Dunelm GitLab. Bien qu’il ne s’agisse pas du produit le plus rapide disponible, il affirme qu’il a fourni à Dunelm l’ensemble de caractéristiques et de fonctionnalités le plus complet, y compris la sécurité.
Au plus haut niveau, GitLab agit comme un référentiel de code source, explique Claeyssens, ajoutant : « Il maintient tout notre code source sécurisé et sous contrôle. » Par exemple, Claessens affirme que l’équipe a introduit une « manière intéressante de valider du code », qui prend en charge l’examen du code par les pairs, permettant de fusionner le code de manière judicieuse, qui est ensuite également soumis à l’examen par les pairs. « Nous disposons d’une étape supplémentaire pour nous assurer que nous ne soumettons rien contenant des erreurs », ajoute-t-il.
Auparavant, Claeyssens affirme que toutes les mises à jour du site Web étaient centralisées dans un seul référentiel, ce qui devenait fastidieux. L’idée de petits frontaux simplifie cela. “En divisant ce type de grand Web en zones distinctes, chaque élément peut être rassemblé par le front-end et assemblé en une page qui a du sens du point de vue de l’expérience”, dit-il.
En coulisses, les équipes individuelles peuvent travailler sur des pièces individuelles dans leurs propres référentiels GitLab. “Ils ont chacun leur propre cheminement, ce qui réduit le risque de changer quelque chose ici et d’affecter autre chose là”, ajoute Claessens. Cette façon de travailler, organisée autour de morceaux de code plus petits, permet également à Dunelm de déployer de nouvelles fonctionnalités fréquemment et en toute sécurité.
«Je souhaite voir des déploiements plus sûrs et des délais de livraison plus courts», déclare Cresson. Expliquant comment cela pourrait aider l’entreprise, il ajoute : « Avec un bon vent, vous pourriez avoir une idée un jour et la faire passer dans un pipeline en tant que tâche urgente afin de pouvoir vous mettre très rapidement sur la voie de la production. »
Mais tout n’a pas besoin d’un pipeline de production. Compte tenu du coût de l’ingénierie logicielle, Kerrison affirme que Dunelm a réussi à mener de petites expériences basse fidélité pour prouver la valeur d’une nouvelle idée, avant de s’engager dans l’effort d’ingénierie requis pour mettre l’idée en production. Pour Kerrison, la possibilité de déployer rapidement à l’aide de petits morceaux de code signifie que les équipes d’ingénierie logicielle de Dunelm peuvent mener des expériences de manière plus sécurisée.